Luc DELLISSE / Inédits / Haute mer

Haute mer Ce que je dois aux femmes couvre bien d’autres domaines que le sexe et les sentiments. L’une d’elles qui s’appelait Flora était bonne écuyère. Voyant que j’avais peur des chevaux quand j’allais la rejoindre à son manège, elle m’a appris à toucher les encolures et la bouche et même les jambes de belles... Lire la Suite →

Luc DELLISSE / Inédits / Fuego

Longtemps, quand je voyageais sans répit, et même quand je voyageais seul, je m’arrangeais pour trouver de bons hôtels d’étape, de très bons hôtels si possible, voire, au hasard des promotions sur internet, des hôtels de luxe. J’ai renoncé à me compliquer la vie avec ces exigences, qui me prenaient du temps de recherche et coûtaient, promotion ou pas, plus d’argent qu’il n’était raisonnable. En définitive, la satisfaction que j’en tirais n’était pas au rendez-vous.

Barabas est vivant.

                  Ce texte est particulièrement dédié à Nancy,  mon amie de toutes les vies de tous les détours, les hors-champs, les envers du décor auquel nous avons survécu. https://www.facebook.com/cyneye J'attends le mauvais soir Je parcours à sang d'encre un continuum espace violence Perdu plume et autres outils... Lire la Suite →