Il n’y a pas de luttes des classes VIOLENCE
Il n’y pas davantage de racisme
Il y a en revanche, en sombres revanches
Une lutte des corps constitués,
Une lutte des structures psychologiques
Qui se meuvent en corps sociaux.
Bill ASHTRAY©
Comment les mots bâtissent la Réalité
Il n’y a pas de luttes des classes VIOLENCE
Il n’y pas davantage de racisme
Il y a en revanche, en sombres revanches
Une lutte des corps constitués,
Une lutte des structures psychologiques
Qui se meuvent en corps sociaux.
Bill ASHTRAY©
HOOGVELD, Sous la vitesse de la marche ©
Temps-réels insolites
satellites solitaires
Un son de Stradivarius venu de partout qui vient déchirer le panorama des ombres silencieuses
Nous sommes tous les deux forces de présence négociant nos identités repliées multiples
Mais le corps n’est pas fait pour les chiens
Les cages dorées les cages d’acier platines émaillés
N’auront jamais le goût l’instinct de nos deux libertés
Détonateurs adossés aux ennuis des rases-ciels qui se font péter la farine
Comme un happening de Warhol le troisième jour après la mort
L’air hagard d’une nuit de parano sur la toile
De la cendre dans tes cheveux
Le corps incarcéré dans une posture asthmatique
absorbant cette avarie qui n’aura pas d’aveux
Dégoulinant d’instinct vers la sortie de secours en haute définition
Ce cœur corrigé par les appels de détresse
L’amertume de ne vivre qu’une fois et une seule fois pour soi………………
Guillaume HOOGVELD pré-2009 © RE-Post 2011©
Quitter l’enfer du temps réel pour le horla du temps DU réel
on ne surmonte pas les obstacles on les contourne
l’amateurisme est mon ennemi privé numéro 1
je me comprends mieux dans le noir, cela s’entend clairement BIEN SUR
la tentation est anonyme l »exécution a un NOM CAPITAL
Quand notre temps est devenue la propriété d’un tiers, et nous échappe, notre avenir n’a plus de sens.
l’enfance me colle au cortex : copier-coller l’enfance est un CRIME
C’est si facile de vivre ce qui est écrit plutôt que d’écrire ce qui sera vécu. Écrire ce qui va être appartient aux prophètes.
Mourir est un malentendu, une communication synaptique rompue.
Certains vivent à fond la caisse d’autres à fond la casse
Je me disperse en occasions fugaces, en cohabitations tenaces, en névralgies de pointe. Je ne meurs que des amours qui vont poindre et non de celles déjà déchues…
La curiosité ne regarde que vous.
je ne suis jamais pensé encor moins senti étranger mais unique , oui et différent, je le crains, ce qui est mis en valeur par ceux qui n’ont pas le courage de sortir des ornières morales, légales, sociales
Avoir le regard oblique : celui déjà ailleurs, mais sans aucune ligne de fuites.
Tout ce que j’ai écrit de plus beau, d’espérant, de dénoué, c’est triste, mais je l’ai fait dans un état sordide, paranoïaque, chimérique crasseux,je dois le concéder, même si c’est (pas?) du propre. D’ailleurs sur mon clavier, la nicotine remplace la nomination des touches alphanumériques.
Ecrire c’est de la sueur et de la douleur et surtout tout sauf du travail. Tous les écrivains expient leurs marges.
Et les Poètes en font des chants.AMEN
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