Alain DUAULT / Où vont nos nuit perdues

  J'aurais tant voulu partager son visage tant Porter son regard et ses seins à ce sanglot Tant m'y couler l'orage J'aurais comme Un grand navire enfoui su lire ses hantises Ses pentes ses massacres Vigie j'aurais vu Ses yeux si navrés sa folie j’aurais  écrit su Écrire le chant de cette veine bleue au... Lire la Suite →

Apollinaire / Alcools / L’Adieu

Pour Lisa, avec attention et tendresse. J'ai cueilli ce brin de bruyère L'automne est morte souviens-t'en Nous ne nous verrons plus sur terre Odeur du temps brin de bruyère Et  souviens-toi que je t'attends   ©Guillaume Hoogveld pour la photographie ©Apollinaire/ Gallimard pour le texte, 1920

Sonia Branglidor / La nuit en vrac

  Et il y a la dimension prodigieuse de la vie,cette douleur brûlante de ne pas être à la hauteur des choses les plus laides, les plus médiocres, les plus crasseuses, les plus répétitives et les plus monotones,et ce ciel de merde qui se lève la nuit et qui chante pour les pétés, pour les... Lire la Suite →

DEBORD Toute – Siècle d’écrivains – Inédite pépite de Sollers

https://youtu.be/Z4VxjsJXq34

Ivica Henin / Journal d’un inconscient : LGR, 1999

Journal d'un inconscient J'étais  un petit garçon.  Jusqu'à  l'immanquable jour où je suis devenu un grand garçon. Ça changeait  tout. Hé• las pour moi, de ce jour je ne garde aucun souvenir. Plus tard et à ma grande  surprise, j'ai  appris en avoir presque fini avec l'adolescence.  Quant à l'homme  dont on m' habille, celui-là... Lire la Suite →

Aphorismes mobiles 2019/ 2020/ 2021/ Guillaume HOOGVELD / Inédits

  APHORISMES 030319   Le réel est une religion au même titre que l'imaginaire sans sa portée tragique. Le Désespoir et la Critique sont les deux feux qui savent nuire au spectacle. Tout à été dit pour le reste. Fréquenter un marxiste de première classe est un lapsus mais l"inertie de cette nuisance en terme... Lire la Suite →